Partie 2 : L’homme de la situation – Comment prouver à Capitaine bedaine qu’elle a choisi LE bon.
Jean Philippe Morin Qu’on se le dise : être «l’autre parent» pendant une grossesse, c’est pas ce qui te rapproche le plus de la définition du mot CONCRET dans la vie. Maman sent son corps qui change, elle vit ses propres défis, nausées du matin, inconfort, etc. Après la pause, ce que papa vit #SouffrirEnSilence. Ben non! C’est pas difficile, c’est tellement juste trop abstrait. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de défi. Oh non! En voici deux qui me sont apparus en plein visage.
(Source)
-
Défi #1 : Chez nous, Capitaine Bedaine a eu droit au combo nausées et douleurs au dos assez tôt. La chanceuse avait dressé son homme pour qu’il lui fasse à souper tous les soirs (j’écris ben ce que je veux OK mon amour?). Toutefois, depuis l’arrivée de bébé bien au chaud dans l’utérus de maman, tout ce qui goûte plus qu’une saveur lui lève le cœur. Alors pendant que papa avait mijoté un bon cari de pois chiches et de poisson blanc, Capitaine trouve que ça goûte, et je cite : «Trop de choses». Ben c’est ça, mange-les tes bagels aux avocats… #RépéterÀTousLesSoirs.
- Défi #2 : Comment l’homme de la situation arrive à s’impliquer dans une situation aussi abstraite qu’une première grossesse? Après réflexion, la solution semble si simple : LA chambre. Pour un homme manuel comme moi, la seule solution pour combler son besoin de prouver sa masculinité dans une situation où l’on refoule son talent de cuistot, c’est de laisser aller son talent artistique dans une chambre de bébé qui sort un peu du commun. Faire un plafond à motif chevron dans une maison qui date de 1960 (aussi connue sous le nom de $?!&$ que les murs sont croches), comme bonne idée, on repassera.
Les papas (ou autres mamans) ont plusieurs défis à relever… Quel a été le plus grand challenge que vous ayez eu à surmonter avec votre douce moitié durant la grossesse?