Une nouvelle série réno-déco suit Mélissa Bédard et sa famille dans leur déménagement

Cet automne à Canal Vie, Mélissa Bédard et sa famille emménageront dans leur toute première maison, dans la série réno-déco intitulée Ma première maison. Dans les 10 épisodes de 30 minutes, nous y verrons Mélissa, Karl et leur six enfants vivre les péripéties et les défis du déménagement et des rénovations.

C’est avec l’aide de l’entrepreneur général Hugo Champagne, du designer d’intérieur Antoine Laurier ainsi que de son amie charpentière-menuisière Joanie Chevalier que la chanteuse donnera vie à sa maison de rêve.

« Avec son intense et pétillante personnalité, Mélissa partagera avec le public toutes les étapes de cette grande expérience »

 

 

 

 

 

 

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« C’est à Québec que le clan Bédard-Fortier dépose ses boites. Avec son intense et pétillante personnalité, Mélissa partagera avec le public toutes les étapes de cette grande expérience, sans filtres ni tabous ».

« Les téléspectateurs de Canal Vie trouveront facilement une part de leurs rêves ou de leurs propres expériences dans le projet de Mélissa. Devenir propriétaire pour une première fois est une grande étape de vie qui vient avec son lot de défis. Nous sommes heureux de pouvoir participer à cette aventure familiale », a commenté Suzane Landry, vice-présidente, développement de contenu, programmation et information chez Bell Média.

Souvenons-nous qu’il y a quelques jours, Mélissa Bédard s’est confiée sur une décision importante qu’elle et son conjoint ont prise pendant la pandémie.

En effet, le couple a pris la décision que Karl serait un père au foyer. Ainsi, Karl a quitté son emploi et reste à la maison pour s’occuper du quotidien avec trois filles (Laylia, Elena et Serena qui ont 12, 6 et 3 ans) et trois garçons (Anthony, Alexandre et Emeric âgés de 17, 15 et 12 ans).

« Depuis le début de la pandémie, mon chum est à la maison. C’est la meilleure décision que nous ayons prise. Tout le monde en bénéficie. Avec mamie à la maison qui n’arrivait pas à ouvrir Internet pour les enfants… c’était insupportable! Peu importe où j’étais, il fallait que je reste disponible, car je devais répondre aux appels. Pour nous éviter un burnout, Karl a décidé d’arrêter de travailler et d’être papa à la maison. Il y sera jusqu’à ce que la petite soit plus vieille. Cela me permet d’aller tra­vailler et de quitter la maison la tête tranquille. Je suis en confiance, et ça fait du bien de ne pas me faire appeler à tout bout de champ pour gérer toutes sortes de détails… », a-t-elle lancé.

« Je constate que ça fait baisser le niveau d’anxiété chez eux. Je pars souvent de la maison pour aller travail­ler, et je remarque qu’ils s’ennuient moins, car Karl est toujours là avec eux. Nous voyons une grande différence, surtout pour la petite. Maman part, mais papa reste, alors c’est moins angoissant pour elle. Elle est à la garde­ rie. Comme les enfants sont de plus en plus autonomes, ça nous donne un coup de pouce. Les deux fils aînés de Karl travaillent déjà. Ils sont très autonomes », a-t-elle ajouté.

Une chose est certaine, on a bien hâte de voir la petite famille s’installer dans leur nouvelle demeure!