Mon rapport avec l’alcool maintenant que j’ai des enfants

Depuis que j’ai commencé à consommer des breuvages alcoolisés, vers 16 ans, j’ai toujours eu une préférence pour le vin rouge et le scotch. C’étaient des consommations occasionnelles que j’appréciais beaucoup. D’emploi d’étudiante, j’ai passé à job d’adulte et j’ai pu cultiver cette passion en me procurant des bouteilles toujours un peu plus luxueuses. Je suis même partie en Écosse pour en déguster quelques verres.

Cela dit, maintenant que j’ai des enfants, je trouve difficilement le temps mais surtout l’envie de prendre une coupe de vin ou un verre de whisky. Pas que je n’aime plus ça. Je trouve toujours ça aussi délicieux, c’est davantage une question de « le jeu n’en vaut pas la chandelle ».

Je pense que je peux compter sur les doigts de mes mains les consommations que j’ai prises depuis que mes filles sont nées. La petite euphorie que procure l’alcool est bien le fun, mais j’ai une faible tolérance et l’euphorie fait vite place à la fatigue et à l’envie de dormir. Quand j’avais juste ma petite personne de qui prendre soin, ça ne me dérangeait pas. Mais maintenant que nos nuits sont toujours un gros guess, ça ne me tente pas de subir un état de fatigue supplémentaire sous prétexte que j’ai eu du fun pendant une heure.

Je fais presque la même face.
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