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Le (maudit) PUPPP : ce 3e trimestre que j’ai passé à me gratter au sang.
Crédit: Ellen C. Brown

Un bon matin, on se lève et on fait un test de grossesse. WIN! Enceinte! 
On s’imagine que notre grossesse va se passer comme celles dans les magazines : les yeux pétillants et de beaux ongles. Ouais, sauf que BOOM, à notre 3e trimestre, la vie en décide autrement. On se ramasse avec un pruritic urticarial papules and plaques of pregnancy ou pour faire simple, un PUPPP. Là, on capote. On ne dors plus, on veut s’arracher les bras et les jambes. On a le ventre marbré de plaques rouges qui piquent comme des piqures de maringouins qui durent FOREVER. Le médecin capote en nous voyant et ne sait pas trop ce que c’est car il hésite entre le PUPPP ou la cholestase de grossesse (maladie du foie qui se déclare pendant la grossesse. Euh). Ça fait qu’on se fait prescrire une tonne de médicaments, dont des crèmes à base de cortisone et du Bénadryl.  Rien ne fonctionne. Le problème se résorbe 1 à 2 semaine(s) après avoir accouché seulement.

Crédit photo : My Pregnancy Baby.

Au moins, il n’y a pas de danger pour le bébé. Par contre avec les semaines qui passent et la grossesse qui avance, c’est difficile car le PUPPP prend beaucoup de place.
Bonne nouvelle : il n’y a pas nécessairement de récidive pour les prochaines grossesses. Thank god.
 

Avez-vous déjà souffert de ce type d’urticaire? Comment l’avez-vous vécu?

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