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Vive l’indépendance… à côté de ses parents?
Crédit: Christian Stahl/Unsplash

Mythe
Quand j’annonce que j’habite à côté de chez mes parents (et en diagonale de mon oncle), j’ai souvent des réactions négatives comme «tu ne peux pas faire de conneries» ou «tu n’as pas d’indépendance». Est-ce qu’être voisins de ses géniteurs ça brime la liberté?

Réalité
Parfois, pour mieux vivre, il faut couper les ponts avec un parent. Mais comme j’ai une super relation avec les miens, j’étais heureuse quand j’ai pu partir de chez eux, pour aller m’installer dans la maison d’à côté. Question de conneries, je ne suis pas la seule à en faire (hum hum à qui de droit!) et question d’indépendance, mes parents ne sont vraiment pas envahissants. 

En tant que leur fille, il y a plusieurs avantages, comme celui d’avoir un cappucino tous les matins #FilleParasite. Et en tant que nouvelle maman, c’est encore mieux. Voici pourquoi.

1.   Une commission urgente? On fait dix pas et on laisse bébé quinze minutes chez les grands-parents. 

2.   Quand on est invité à souper, même si on oublie un truc pour le bébé, pas de panique, c’est dans la maison voisine. Et si on reste tard et que le petit s’est endormi, c’est vraiment facile de le prendre et d’aller le coucher dans son lit. Pas d’auto ni de métro qui troublent son sommeil.

3.   Sortie en famille? On embarque tous en même temps dans la voiture des grands-parents. 

4.   OMG il ne reste plus de lait dans le frigo pour nourrir l’Héritier? On va en chiper subtilement (ou pas).

5.   Toute seule pour la soirée avec un bébé pleurnichard? On s’arrange facilement pour se faire inviter à souper et trouver une autre paire de bras.

J’ai cherché, et je n’ai pas trouvé de mauvaises facettes à ma situation. J’aime tellement ça que je ne pourrais pas faire comme Vanessa-May et partir vivre à l’étranger pendant plusieurs années.

Bref, merci papa et maman!

Vivriez-vous à côté de chez vos parents?

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