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Guide de survie : les groupes pour parents sur Facebook.
Crédit: Emilie Sauriol

Internet est une chose merveilleuse. Outre la quantité infinie d’informations pertinentes ou non que j’y trouve, c’est aussi un lieu de rencontre et de partage.
 
Sans ça, je serais devenue une folle aux chats. Netflix, des livres et la radio, c’est bien, mais les groupes de parents sur Facebook, ça m’a permis de briser mon isolement.

Crédit : Giphy

Seule avec un petit veau que j’allaitais sans arrêt souvent, j’avais besoin de gens avec qui jaser.
 
« Dites-moi que les tétées groupées vont passer! Dites-moi que je ne suis pas une mauvaise mère parce que ma fille a des miettes de toast dans le front! Dites-moi que vous avez un truc magique pour effacer les taches de crottes explosives sur les murs! »
 
Il faut savoir comment apprivoiser cette ressource infinie d’informations et, parfois, de jugement confrontation.
 
Voici des trucs pour ne pas y laisser sa peau.

 

1. Choisir ses groupes avec précaution. 
Mine de rien, le groupe « Maman naturelle végane sans gluten » n’est pas l’endroit pour poser vos questions sur l’intégration du poulet dans l’alimentation de votre mini!

Crédit : stlukescrblogs

2. Utiliser la fonction « Ne plus suivre les notifications ».
Parce que ça ne sert à rien de s’obstiner pendant des heures à coup de commentaires cheapettes sur les capacités parentales d’un inconnu.

Quand la conversation dérape et que je sens que l’autre tient mordicus à gagner la bataille de l’allaitement avec ou sans téterelle en silicone bio-local-équitable, je laisse gagner. Passez votre chemin et laissez l’autre s’arracher les cheveux TOUT SEUL devant son écran et faites-vous une tisane. #Wild

 

Crédit : Giphy

 
3. Être préparée en fonction du sujet abordé. 
*Tousse, tousse*
Les vaccins et l’allaitement. Deux sujets qui soulèvent les passions. Quelle que soit votre position!
 
 « Je ne sais pas si je fais vacciner ou non mon enfant, vous en pensez quoi vous? »
 
BOUM!

47 commentaires plus tard, vous aurez sans doute peu d’informations, beaucoup d’opinions et du crêpage de chignon. Si vous avez des questions sur ces thèmes, préparez-vous à chercher des réponses ailleurs que sur Facebook.

Crédit : Giphy

4. Avoir une vie hors Facebook. 
Des cyberamis, c’est important. Sans eux, j’aurais eu un congé de maternité pas mal plus lonely. N’empêche, ça fait du bien de parler à de vraies personnes!

Jaser, au téléphone ou quand l’autre me regarde changer la couche de ma fille; ne pas relire dix fois un commentaire en essayant de l’interpréter #ElleMeJugeOuPas; jaser d’autres choses que de bébé, ça fait du bien. 

Régulièrement, je me fais des petits congés d’Internet. Je débranche tout, je ne réponds à rien. Ça me fait un bien fou!
  
Fréquentez-vous des groupes Facebook de parents? Ça vous aide?

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