Moment doux-amer : vendre les choses de ton bébé parce qu’il n’y aura pas de petit deuxième…
Justine AlexandreJe suis récemment séparée. Ça veut aussi dire pour moi que ma fille n’aura pas de petit frère/soeur. Pis ça, ce soir, ça me rentre dedans en ta’!
Parce que moi j’ai une grande soeur, qui est ma confidente, ma complice, mon amie, un peu même l’autre moitié de moi, la demie rationnelle et réaliste qui me fait parfois défaut.
Ma soeur et moi, pendant un week-end en Ontario à encourager notre beau grand pays pour une compétition de patin!
Crédit : Justine Alexandre/Instagram
Je n’offrirai pas la chance à ma fille d’avoir quelqu’un d’aussi important dans sa vie. Je sais bien qu’il y a des relations frères-soeurs qui ne sont pas le fun comme celle que j’ai, pis que Flavie pourra avoir des amis qui seront aussi importants et présents que pourrait l’être un frangin.
Reste que je ne m’étais pas imaginé être maman d’un seul petit être. D’être maman d’un enfant unique, de ne pas pouvoir lui offrir la chance d’être membre d’une fratrie, de connaître les joies de grandir avec quelqu’un d’autre tout le temps près de toi, d’avoir un ami en permanence qui te casse les couilles joue avec toi, de se tirailler juste parce que…
Crédit : Mon père ou ma mère!
Pis oui, je sais que j’ai juste 24 ans et que je vais peut-être me rematcher et avoir la possibilité d’avoir d’autres bébés, mais jugez-moi, lancez-moi des roches : je ne veux pas deux bébés avec deux papas différents. Du moins, pas pour l’instant.
Est-ce que votre séparation vous a confronté face à votre maternité?