Top 5 : les fois où être marraine m’a fait sortir de ma zone de confort!

Je ne pourrais pas être plus contente d’avoir été choisie pour être marraine de la belle Flavie. Je l’aimais déjà tout plein dès que j’ai su qu’elle allait exister. J’ai toujours aimé les bébés et les enfants (c’est pour ça que je suis prof au primaire) et je m’intéresse beaucoup à tout ce qui les touche, de près ou de loin. Ceci dit, comme je n’ai pas d’enfant, être marraine d’un bébé de 8 mois et s’impliquer dans son quotidien, ça comporte plein de nouveautés! C’est pourquoi je vous écris un top 5 des fois où être tante et marraine m’a fait sortir de ma zone de confort.
 
Avertissement : cet article parlera évidemment, entre autres, de pipi-caca-pet. Cœurs sensibles, je vous suggère de vous abstenir de lire mon article, mais de poursuivre votre visite du blogue avec la lecture de deux de mes articles préférés publiés jusqu’à maintenant sur TPL moms : celui-ci, parce qu’il est très touchant, et celui-là, parce qu’il parle un peu de moi!

1. Se mettre à la couture!
Avant même que Flavie naisse, je suis sortie de ma zone de confort : je me suis mise à la couture! Moi qui ne savais même pas coudre un bouton, j’ai cousu un doudou avec l’indispensable coaching de mon amie! Je n’en suis pas peu fière, surtout depuis que Flavie a le bon âge pour l’utiliser et l’apprécier!

Crédit : Justine Alexandre

2. S’occuper du caca crémeux
Ça arrive à tous les bébés, souvent plusieurs fois plutôt qu’une : le fameux caca crémeux. T’sais, celui qui beurre le pyjama au complet et qui touche le cou, donc les cheveux dans le cas de ma filleule? Ben oui, celui-là. Heureusement, je n’étais pas seule au moment où c’est arrivé, donc la maman m’a aidée à tout ramasser et à faire prendre un bain à bébé. C’est plus drôle quand on est deux à commenter l’odeur épouvantable qui accompagne l’expérience!

3. Gérer la bouffe dans tous ses états
Il faut l’avouer, je suis quand même un peu dédaigneuse dans la vie. Moins dédaigneuse que quand j’étais petite (je n’ai même pas smashé mon gâteau de 1 an), mais quand même un peu. Heureusement, avec ma filleule, ce n’est pas pareil, à ma grande surprise! Je lui mets des morceaux de banane dans la bouche avec mes mains, je mélange l’affreux mix gluant pour les céréales de riz, je nettoie son vomi, bref, rien ne peut m’arrêter quand il s’agit de prendre soin d’elle!

4. Être le centre de l’attention
Vous l’avez remarqué, Flavie a toute une crinière, et c’est loin de passer inaperçu, comme en parlait Justine. Donc quand on va magasiner, manger au restaurant ou prendre une marche, on ne passe pas inaperçues, elle et moi! Au moins, c’est de l’attention positive et ce n’est pas pour moi, alors j’essaie de m’y habituer!

5. Assister à un baptême catholique
Finalement, être tante m’a aussi fait sortir de ma zone de confort quant à la religion. Un autre bébé de mon entourage s’est fait baptiser à l’église et ouf! Ce fut une toute une expérience! Je dois préciser qu’ayant décroché des croyances religieuses catholiques vers l’âge de 13 ans (voir l’article de Justine à ce sujet ), plus je m’éloigne de l’Église, plus celle-ci me rend mal à l’aise. Alors quand le prêtre a dit, en me regardant droit dans les yeux, que « nul ne devait se placer comme un obstacle entre le nouveau baptisé et Jésus », je n’étais vraiment pas dans ma zone de confort!

Et vous, vos enfants ou ceux de vos proches vous ont-ils amené à sortir de votre zone de confort?