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Une deuxième grossesse, un autre challenge : à tout le personnel hospitalier, merci!
Crédit: Amélie
Partie 1, 2 et 3.

À toutes les nurses et les médecins qui ont partagé un bout de notre vie,

Les derniers mois, j’en ai côtoyé du personnel médical. Un mois d’hospitalisation en grossesse à risques et 78 jours en néonatalogie, ça en fait du monde. J’ai dû rencontrer plus de 100 infirmières et 20 médecins!

Des médecins plus que dévoués à leurs tâches, prenant le temps de tout expliquer. Ceux qu’on attend toute la journée pour finalement ne les voir que 5 minutes, mais qui changent tout de même notre vie. Ceux qui finissent leur 24 heures de garde et qui s’assoient au bout de ton lit pour te dire de ne pas lâcher. Des médecins et des spécialistes : endocrinologue, gynécologue, néonatalogiste, cardiologue, radiologiste et j’en oublie sûrement. Tous dévoués et professionnels.

J’aimerais leur dire merci, ils n’ont pas la tâche facile. Ils ont peut-être un bon salaire, mais ils ont les énormes responsabilités qui viennent avec celui-ci. 

Et les infirmières, elles faisaient partie de notre quotidien. Celles qui en « grossesse à risques » sont parfois notre seul sourire de la journée. Celles qui nous donnent de l’espoir. Celles qui, en néonatalogie, s’occupent des êtres les plus importants pour nous. Celles sur qui tout repose, mais qui ont souvent les mains liées. Merci à celles qui ont pris le temps de nous réconforter, qui avaient des sourires au visage pour nous donner de l’espoir. Celles qui comprenaient le stress que nous vivions.
 
À toutes les infirmières, j’aimerais vous dire merci. J’aimerais que vous compreniez à quel point votre attitude au travail est importante. Pour vous, les hôpitaux, ce sont votre travail, votre quotidien, votre vocation, votre passion. Mais pour nous, c’est l’inconnu, une source d’angoisse, un stress, une place où l’on n’aime pas être. Votre vocabulaire, souvent nous ne le comprenons pas, mais merci de prendre le temps de l’expliquer. 

À tous ceux qui nous ont permis de ramener nos trois filles à la maison, merci.
 

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