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À quels aliments devons-nous faire attention pour les minis, pendant le temps des fêtes?
Crédit: JosianeS via Instagram

Ça nous est presque toutes arrivé lors d’un souper. Vous partez quelques minutes et bébé est sous la supervision de quelqu’un d’autre, puis hop!, il se retrouve avec une petite collation « spéciale », pas santé du tout ou carrément dangereuse (allô les allergies alimentaires!). Ça part toujours d’une bonne intention d’une mamie ou une tante qui porte le surnom de « gâteau ». La première fois que ça m’est arrivé, j’étais vraiment en beau maudit, je me suis même mise à crier. Mais forte de mon expérience, j’ai de meilleurs trucs à vous servir.

1. Connaître les aliments à éviter : les bébés (et ce même si vous faites la méthode du B.L. W.) demandent une alimentation un peu plus précise. J’ai appris quelques trucs dans un document fait par mes bros Aliment PC pour bébé lors de l’Action de grâce. Le besoin en fer des petites est plus grand et vous devez faire attention aux allergènes présents dans la nourriture. De plus, les aliments ne doivent pas être trop gras afin de ne pas être trop durs sur leur système. Évitez aussi les aliments trop salés ou sucrés… Comme vous le voyez, ça peut vite devenir étourdissant pendant une des périodes où les aliments les plus gras se retrouvent sur la table.

2. Identifier les mauvais aliments : quand j’arrive dans un endroit, je fais automatiquement le tour des aliments interdits auprès de l’hôte qui a fait à manger. Est-ce qu’il y a du miel, parce que mon enfant à moins d’un an? Est-ce que le dessert contient de l’alcool? Est-ce qu’il y a des aliments qui ont été en contact avec des allergènes? Est-ce qu’elle peut me garder un petit peu de viande sans sauce? C’est un peu intense, mais vous allez voir,s’expliquer dans le blanc des yeux à la personne qui nous reçoit que ça peut réellement être dangereux pour notre enfant, ça n’a pas de prix.

La façon sneaky je fais aussi une méthode qu’il me fait plaisir de vous enseigner pour les évènements ou je ne peux pas arriver plus tôt ou accéder à la cuisine. Je me transforme en Carolane-La-Foodie-Qui-Veut-Absolument-Reproduire-La-Recette-À-La-Maison. C’est un personnage fort pratique qui pose beaucoup de questions, mais toujours axées sur la méthode et les ingrédients. « Huuuum, cette sauce est trop bonne, comment vous avez faites matante Ginette? Est-ce que vous voudriez m’écrire la recette? Vous avez pris ça sur quel site? »

3. Mettre ses limites et les expliquer à la famille : je sais que ça peut être intimidant, mais vous pouvez expliquer calmement que votre enfant n’a ni envie ni besoin d’avoir un repas plus relevé et de rappeler que les goûts des gens qui vous reçoivent ne convient pas nécessairement à un petit pou d’un an. Si la personne ne comprend pas vos demandes ou pourquoi vous faites une scène, une dernière porte de sortie existe… celle de mon dernier truc.

4. Apportez le repas de votre enfant : les parents d’enfants allergiques le font souvent, vous aussi vous pouvez le faire. J’aime bien avoir « oublié » des pochettes de purée bio faite avec des ingrédients qui correspondent à l’alimentation que je considère la meilleure pour mon enfant dans le sac à couche. Comme ça, j’ai moins à expliquer que le yogourt grec n’est pas bon pour le système de mon bébé ou que les affaires trop salées, même une fois de temps en temps, peuvent causer des désagréments à plus long terme.

Quels sont vos trucs pour bien nourrir votre enfant pendant le temps des fêtes?
 

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