Ode à la cour

La neige est fondue, les pissenlits ont fleuri, le printemps est installé et j’ai hâte de profiter de ma cour. Depuis que je suis partie de chez mes parents, il y a maintenant une douzaine d’années, c’est la première fois que j’ai une cour.

La cour, bien qu’il faille l’entretenir, a plein d’avantages :

• Ça permet vraiment le jeu autonome. Dans deux-trois ans, les enfants seront assez grands pour jouer seuls pendant que je suis dans la maison. En gardant la porte ouverte, je vais pouvoir surveiller les enfants d’une oreille tout en faisant la vaisselle.
• C’est le fun pour jouer avec les voisins. Quand tout le monde est dehors, les enfants vont d’une cour à l’autre. J’adore le coin où j’habite pour ça!
• Pour apprendre la propreté, il y a toujours une toilette proche. Le parc du quartier n’a pas de toilette, ça complique pas mal les choses avec un enfant qui se retient un gros trois secondes.
• Je ne me sens pas mal à cause d’un code brun dans la pataugeoire. Si ça arrive, je n’ai qu’à changer l’eau de la mini piscine et on recommence à jouer.

Crédit : Giphy

Même si elle demande beaucoup d’amour (voir la photo d’en-tête), je l’aime déjà. J’ai plein de projets pour cet été et le suivant :

1. Aplanir le terrain aka la partie poche, mais nécessaire
2. Installer un module avec une glissade et des balançoires. Il y en avait un dans ma cour quand j’étais petite et j’ai tellement de bons souvenirs. J’aimerais que les enfants aient autant de bons moments.
3. Préparer le jardin. Avec tous les travaux, le jardin sera pour l’an prochain puisque la saison sera trop avancée. Cependant, je veux préparer l’endroit pour l’an prochain.
4. Planter le pommier et les framboisiers. Si vous habitez à Montréal, vous pouvez avoir un arbre pour pas cher ici. Même si c’est un peu plus d’entretien, j’espère produire quelques pommes. L’an prochain je vais d’ailleurs devoir soit mettre un deuxième pommier soit convaincre un voisin de planter un pommier #pollinisation.

Je vous invite à partager vos photos de cour.