Aller au contenu
Une fin de semaine cauchemardesque! – Quand le camping n’est pas aussi awesome que prévu.
Crédit: Kim Unertl/Flickr

Comme vous avez pu le lire, nous avons eu un moment difficile et stressant à vivre dernièrement. La perte d’un être cher est toujours perturbante, déstabilisante et épuisante. C’est ainsi que nous nous sommes dit qu’une fin de semaine de camping loin du quotidien nous ferait le plus grand bien.

J’avais hâte! Je souhaitais commencer mes vacances relaxe, au contact de la nature.

Hey la la! Ce fut très loin de ce que j’avais pu m’imaginer.

Lorsque j’étais jeune, ma famille et moi campions chaque année. Ça, c’était en France, dans un camping organisé avec tous les services proches, non loin de la mer. Ces étés restent en mémoire comme de doux souvenirs que je revivrais n’importe quand. Une nouvelle routine, des moments particuliers où l’on s’ajuste au lever et au coucher du soleil, cette odeur de citronnelle…Bref de bons moments partagés en famille.

Je souhaite vraiment qu’Émile puisse avoir ce genre de beaux souvenirs.

Mes souvenirs d’été, chauds, doux et beaux SANS bibittes!
Crédit : Grégory B/Flickr

 

Sauf qu’il va falloir que je m’adapte, que je trouve un autre endroit ou que je me rende à l’évidence : le Mont-Tremblant à la fin juin, C’EST NON!

Voici en quelques points ma MAGNIFIQUE (NOT) fin de semaine de camping :

  • Mon charmant amoureux a oublié ses chaussures à la maison (une activité de Via Ferrata l’attendait et il en avait besoin) : DEMI-TOUR. Ça commençait bien!
     
  • Pendant que les gars jouaient aux Tarzan, nous avions prévu de faire une randonnée en vélo. Émile a l’habitude d’être dans la remorque et il adore ça. Mais voilà, la petite (TROP petite finalement) de mon amie n’avait pas encore vécu l’expérience. Ça fait qu’elle a pleuré tout le long et qu’Émile l’a imitée. Conclusion : nous avons fait DEMI-TOUR!
     
  • Arrivés au campement, nous avons décidé de monter les tentes (neuves) en attendant que les papas reviennent. Nous nous sommes fait ATTAQUER par des brûlots et des maringouins. Entre la construction des tentes (pas facile), les piqûres et les pleurs, ça n’a pas été de tout repos.
Ça, c’est le dos, je vous laisse imaginer le visage!
Crédit : Aude Pelote

 
  • Nous avons malgré tout passé une belle soirée et fini autour du feu avec des guimauves (MIAM).
     
  • Sauf que le plaisir n’a pas duré; Émile s’est réveillé en pleurs. Il faisait de la fièvre et avait l’air d’avoir mal au ventre. Ah oui, j’ai oublié de vous dire que pendant la construction de nos tentes, j’ai cru qu’il avait mangé quelque chose. J’ai commencé à avoir peur, puisque mon téléphone n’avait pas de réseau, nous étions à 40 minutes de la sortie du parc et BEAUCOUP trop loin d’un hôpital. Toujours est-il que j’ai capoté pour rien et que finalement, c’est une molaire qui a décidé d’attendre la fin de semaine de camping pour sortir. YAY!
     
  • Le lendemain matin, au lieu de profiter du moment et de déjeuner tranquillement, nous avons ramassé nos choses sous la PLUIE!
     
  • Pour conclure, en route vers la maison, encore dans le parc, Émile a vomi! B’en oui!

Ça fait qu’en arrivant, on a dû tout faire sécher, que la maison ressemble à un GIGA bordel et qu’en plus, mon fils ne feel pas.

Bref, je ne suis PAS près de vouloir camper de sitôt!

Avez-vous déjà vécu une fin de semaine où les péripéties s’enchaînaient?

Plus de contenu