Mon bébé est un ogre, un vrai trou sans fond. La satiété, connaît pas on dirait. Ma RSG doit sérieusement penser que je ne le nourris pas à l’heure du p’tit déj’ (Salut, Kelly!).
Non seulement cet enfant est réglé comme une horloge (si le repas n’est pas prêt à l’heure habituelle, il se charge de nous le rappeler), il semble constamment affamé. Il pourrait manger douze repas par jour si ça ne dépendait que de lui. Et il aurait sûrement encore faim!
Le week-end, notre petit lève-tôt déjeune souvent le premier. Même après un bon gros biberon et un déjeuner copieux (toast au beurre de peanut, une banane, parfois du yogourt), il viendra assurément nous quêter quelques bouchées de notre déjeuner.
Crédit : Vanessa Giguère
Dès que j’ai le malheur d’ouvrir la porte du frigo ou du garde-manger et de la refermer avant qu’il n’y soit rendu : BIG DRAMA! Sérieusement, j’ai rarement vu un enfant aussi contrarié.
La préparation des repas est aussi de plus en plus complexe. C’est que cuisiner avec un enfant pendu à votre fond de culotte, ce n’est pas tâche facile. Avec la saison froide qui se pointe le bout du nez, j’aime bien cuisiner des repas qui doivent mijoter longtemps. Par contre, même si fiston vient de boire un biberon et/ou de manger une collation, je ne m’en sors pas. Dès qu’il me voit m’affairer dans la cuisine pour couper des légumes et mettre quelque chose au four, il veut manger. Tout de suite. Maintenant!
Crédit : Vanessa Giguère
Ce n’est pas mêlant, on dirait qu’il est en poussée de croissance ininterrompue depuis qu’il a commencé à manger des solides. C’est-à-dire depuis 8 mois! Mon chum et moi, on commence déjà à redouter l’adolescence. À ce rythme-là, il va nous coûter 500 $ d’épicerie à lui seul! #Ouch
Avez-vous des petits ou des gros mangeurs à la maison?