Elles ont plusieurs petits noms d’amour : nounours, loulous, boogers, bogeys, kikis… Peu importe leur nom, je vous l’avoue aujourd’hui, j’ai une sainte obsession des crottes de nez. J’ai une amie d’enfance, assidue lectrice de TPL Moms (salut Noémie!) qui ne pouvait pas les voir. Le cœur lui levait au moindre instant qu’une petite bébé mini micro crotte de nez se pointait à la lueur du jour.
Moi j’ai toujours été le grand sauveur, celui qui se fait un plaisir de le dire quand tu en as une que t’as pas sentie qui te pend sur le bord de la narine, ou, PIRE ENCORE, qui reste prise dans ton «pinch».
Crédit capture d’écran : Jean Philippe Morin.
«Prend le mouche-bébé!» qu’on me dit. Cette machine du diable qui déjà, un jour, a rempli la gorge de ma douce de mucus? Non merci. Pourquoi humecter et aspirer une belle crotte qui n’attend que d’être cueillie dans la cavité nasale de mon chéri. La petite poire qu’on donne dans les kits de pharmacie? L’essayer c’est l’adopter sacrer… Comment ai-je pu croire qu’une pompe en plastique bleue aspirerait le monstre dans la narine de bébé? Eh oui, Victor fait de grosses crottes de nez #DaddysBoy.
Mon conseil de spécialiste? Le bout du petit doigt pour les crottes en surface et le bout en U de la bonne vieille bobby pin pour les plus timides (props à ma maman pour le truc!). Vous me remercierez plus tard.
Une collègue de travail avait la même obsession que moi. Un jour, à force de vouloir s’évertuer à laisser le nez des enfants propre, elle en a fait saigner sa nièce. Vous voyez bien que j’suis pas si pire que ça!
On a tous des obsessions. La vôtre? Come on! Je vous jugerai pas!