Penses-tu que je peux lui faire mal avec mon zouizz?, dit-il.

Avouez. Il l’a demandé. Sincèrement en plus.

La réponse à éviter :

«Avec ton pénis? Hahaha, jamais! Pas assez gros!». Ouch. Vous venez de LUI faire mal.

La réponse bonne pour l’amour propre : 

«Mon beau. Malgré le fait que tu aies un beau gros pénis fort, c’est impossible. L’épais bouchon muqueux qui ferme l’utérus prévient tout risque d’infection.» (toutes les infos ICI).

Et rajoutez : 
«En fait, si jamais le bébé bouge plus après, c’est que c’était telllllllement bon que tu as fait battre mon coeur à toute vitesse. En gros, tu es le meilleur amant du monde et je suis vraiment contente de savoir que je t’excite même si mon corps a changé.»

Réponse facile comme ça. Il peut y en avoir une à développement aussi qui vous vient en tête lorsqu’il mentionne : J’ai peur de lui faire mal. Moi, c’est ça qui pop : 

Mon Beau, si tu savais comme je te trouve charmant à l’instant. Comment, déjà, tu es un bon père. Jamais tu ne feras mal à ce bébé ni aujourd’hui, ni demain. Je le sais de par la façon que tu flattes ma bedaine, que tu t’informes si j’ai bien mangé mes légumes et de par la douceur avec laquelle tu déposes la débarbouillette sur mon front quand je me transforme en dragon vomissant sa vie.  

Je le sais parce que je t’ai vu, avec notre chef d’oeuvre précédent, délicat, fort, protecteur et même coquet en choisissant la boucle qui fit avec la robe. Tu divisais la peur et multipliais la force pendant que les orages nous tombaient dessus.

Mon beau, jamais tu ne feras mal à ce bébé parce que tu n’es capable que d’amour. Du moment où tu couperas ses petits ongles délicats à celui où tu lui lanceras la balle de baseball dans le jardin. Une chance qu’on t’a, tes bras sont notre armée et ton dos notre forteresse. 

Peut-être ajouterai-je en terminant : N’oublie jamais que tu as le plus beau pénis du monde!

Alors, il vous l’a demandé aussi? Vous avez répondu quoi?