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Les maudits gros mots – ou comment s’assurer que junior ne passe pas pour un p’tit bum!
Crédit: Roseline Rousseau-Gagnon

Comme Marianne en a parlé ICI, tous les enfants sont totalement fascinés par les gros mots. Le mien ayant parlé très, mais TRÈS tôt (genre qu’il faisait des phrases complètes à même pas 18 mois!), il a toujours adoré intégrer de nouveaux mots à son vocabulaire. Et du lot, immanquablement, y’en a eu quelques «gros»…

Au fond, qu’on soit personnellement choqué ou non par les sacres et autres grossièretés, la microsociété dans laquelle notre enfant évolue (garderie, école, etc.) trouve toujours leur emploi extrêmement (trop?) répréhensible. Je veux dire, ça implique des avertissements, avec conséquences plus ou moins sévères… De gros drames à éviter le plus possible ‘mettons!

 (Source)

Mais comment gérer le langage de la progéniture sans tomber dans le contrôle excessif (la grosse censure, quoi)? Personnellement, j’ai choisi l’honnêteté avec fiston, en lui expliquant la signification desdits gros mots (au moins qu’il sache les utiliser, câl**se!), tout en insistant sur le fait qu’ils devraient être mentionnés à haute voix le moins souvent possible…  De le mettre «dans le coup», en insinuant que c’est plus cool de connaître ces mots sans les employer, ben ça a marché! Depuis, plus de billet du prof comme quoi on a un futur Capitaine Haddock dans la famillle et surtout, plus de réprimandes pour une faute pas mal anodine, faut se le dire…

Maintenant, du haut de ses 10-ans-plus-qu’et-demi, fiston s’échappe rarement, yé!  Mais surtout, et c’est peut-être là le revers de la médaille, il aime BEN TROP me gronder quand, à mon tour, j’ose sacrer (ce que arrive souvent parfois)…  Le p’tit tab**nak!

Et vous, avez-vous de petits charretiers à la maison?

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