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Le dessert : un peu, sous condition, à volonté ou pas du tout?
Crédit: Anne-Hélène Dupont

Je suis une bibitte à sucre. Il me FAUT un dessert après chaque repas, ne serait-ce qu’un bonbon. Jouer avec le sucre, le beurre et la farine, c’est aussi mon loisir fa-vo-ri!
 
Je veux partager les joies du sucré avec ma fille, mais on s’entend : le dessert, c’est pas la partie la plus saine du repas. Dilemme! 

Pour m’inspirer dans ma gestion du dessert, j’observe depuis un bon moment comment les familles qui m’entourent s’y prennent. J’en ai dégagé certaines tendances.
 
Il y a…
 

  • Les mystificateurs : ils font croire à leurs enfants que du houmos ou des craquelins, c’est du dessert. 
  • Les légers : chez eux, c’est yogourt, fruits et autres desserts «santé» pour tous, parents inclus. À moins qu’ils fassent aussi partie du groupe suivant… 
     
  • Les cachottiers : ils savourent impunément chocolat et céréales sucrées une fois que leurs minis sont au lit/dans le bain avec l’autre parent/au téléphone avec grand-maman… (Je plaide coupable! Sérieusement, quel parent ne l’a pas fait?) 
     
  • Les salés : il PARAÎT qu’il existe des gens qui choisiraient une frite au lieu d’un cornet de crème glacée n’importe quand. (Je ne suis clairement pas de cette espèce.) 
     
  • Les modérés : du dessert à l’occasion, en portions limitées. UN biscuit aux pépites et basta. Encore faim? Reprends donc un peu de poulet ou de courgettes. 
     
  • Les libéraux : quand ils mettent du dessert sur la table, c’est service à volonté. Le raisonnement derrière cette approche : rien n’est plus attrayant que ce qui est étiqueté «interdit» ou «mauvais». Traiter le dessert comme n’importe quel aliment favorisait donc un rapport sain avec le sucré. Audacieux, mais pas fou du tout! 
(Source)

 
Plus de détails sur cette approche «libérale» la semaine prochaine…
 

Quelle est votre politique en matière de desserts?

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