Du pop corn, des rires et une jasette avec Charlotte, 16 ans.

Suite à l’invitation de Jaime Damak, fondatrice du site Je suis une maman,  j’ai été voir «Famille Recomposée», la nouvelle comédie mettant en vedette Adam Sandler, Drew Barrymore et leurs cinq enfants fictifs (3 filles pour Adam et 2 garçons pour Drew).

Ça ne gagnera pas un Oscar, mais c’est un joyeux divertissement qui m’a donné un bon prétexte pour sortir ma cousine Charlotte, fruit de l’amour de ma marraine (qui avait déjà une fille) et de mon oncle. 

Charlotte et moi version 2004 Crédit photo : Sophie Gagnon.

Après un popcorn dégoulinant de beurre, une liqueur format jacuzzi et plusieurs éclats de rire, nous avons discuté de comment c’est au juste vivre dans une famille recomposée.

Il y a autant de différentes familles recomposées qu’il en existe. Ma cousine a une grande soeur à qui elle refuse d’accoler le titre de «demie».
Le film racontant l’histoire d’une mère célibataire et d’un père veuf qui tissent des liens au cours d’une semaine de vacances en Afrique (mise en situation reflétant la réalité d’une majorité #Not) la rejoignait plus ou moins, mais elle pouvait comprendre le rapport beau-père/belle-mère/enfant qui peut ne pas être simple. 

Elle me disait qu’il y a une différence entre des «demis» qui partagent le même parent et voir rentrer dans sa vie un nouveau beau-parent avec des enfants inconnus jusque-là, au début du moins. Pourtant, selon elle, c’est l’amour qui crée la famille, pas juste le sang (merci pour la belle leçon ma choupette).

Dans vos familles recomposées, ça été simple ou pas? Avez-vous rencontré certains obstacles?