Il existe une chose que j’aime autant que je déteste : les changements de saisons.
Ça vient chercher toutes sortes de sentiments contradictoires comme la joie, l’angoisse, le regret. C’est aussi synonyme de nouveauté, d’adaptation et de DÉSORDRE.
 
Récemment, le printemps s’est montré le bout du nez, et comme à chaque année, il m’a pris par surprise. Au début, il s’installe tranquillement, nous siffle de petits vents doux, nous tricote de beaux bourgeons verts tendres et BOUM! Arrive la journée de chaleur exagérée!
 
En quelques heures, les boîtes de vêtements d’été sont sorties, les tiroirs sont éventrés et le sac transparent avec les sandales est déchiré. 

Il a fallu que j’organise les garde-robes.

La parade de mode :
Séance d’essayage et de pavanage permettant de vérifier si les tailles sont toujours bonnes.

Les piles :
Assemblage de petites montagnes de vêtements permettant d’évaluer ce qu’on garde, ce qu’on donne à une amie ou à un organisme, ce qu’on range au sous-sol…
 
La session What not to Wear :
Moment où on se la joue à la Stacy et Clinton et on crée des ensembles. Ce truc nous permet de se débarrasser des «inutiles», de réduire la quantité de vêtements ET la quantité de lavage. Vous vous souvenez ICI!

VOILÀ!

Tout est bien qui finit bien. Une fois que cette étape est réglée, je commence à profiter du printemps et mon coeur de mère déborde de bonheur en voyant les enfants courir, jouer, sauter et crier au grand air dans la ruelle avec les amis!

Quel est votre truc pour passer d’une saison à l’autre?