Pis? Tu vas l’appeler comment ton p'tit?

Qui jouait à Destin juste pour avoir à nommer ses futurs enfants? Oh yess! T’es dans ma gang! C’est le temps de jouer pour vrai. Un peu plus stressant, impliquant et qui tient plus que le temps d’une game, mais sinon c’est facile.

Crédit photo : Archambault.

Exercices qui peuvent t’aider à faire un choix sans regret

Exercice #1. Le nom suivi de : VIENS SOUPER!! Facile, simple, efficace et qui donne une bonne idée de ce que tu vas répéter chaque jour, une bonne partie de ta vie.

Mardoche, viens souper!!! NON. (Merci les Zimparfaites pour ce palmarès des pires prénoms)

Exercice #2. Est-ce que ça fait un chum/une blonde cool. J’imagine toujours la première rencontre, t’sais ado. Le nom qui sera écrit dans l’agenda. Je veux éviter d’avoir genre des Langis partout sur son étui à crayons. Fait vécu.

Exercice #3. Prévoir le coup pour un possible job sérieux. Méthode simple : Dites : (…), Radio-Canada, Montréal. Princesse-Delphine Tremblay, c’est spécial!

Exercice #4. Trouvez le diminutif. Selon Au Féminin, les Tom pour Thomas ou Ju pour Juliette auraient plus d’invitations aux partys de fête. En y repensant, c’est bien vrai. Christie que Jo était cool pis que tout le monde trippait sur Alex.

On n’oublie pas :

Il va de soi qu’on prend en considération le nom de famille et qu’on laisse tomber les jeux de mots. «Simon Cauchon-Deschamps», ça fesse.
De grâce, on laisse faire le doublé pour Amélie Viens-Sansregret ou Olivier Lemoyne-Allaire.

Pensez aux initiales aussi. P.T., c’était la chose la plus drôle au monde en 3^e année et ledit péter, s’est fait écoeurer tout le primaire.

Je terminerai avec ce que ma mère dit souvent : «C’est elle qui va le faire son nom.»
On s’habitue à tout aussi.

Vous avez vos propres exercices pour que l’on essaie aussi?